Yaël Hassan

Confinement, isolement, éloignement…

Terrorisme, islamisme, obscurantisme…

Tels sont les maîtres-mots de notre quotidien.

Quant à vous, mes chers lecteurs et lectrices, vous me manquez !

Comme je ne peux plus venir à votre rencontre, si vous veniez à la mienne ?

Une rencontre virtuelle c’est mieux que pas de rencontres du tout non ? D’autant que pour 2021, je vous promets de belles nouveautés qui vous surprendront.

Aux enseignants que cela intéresse voici le mode d’emploi et les conditions.

N’hésitez pas à me contacter pour plus de détails.

L’été est studieux et très productif.

Cinq nouveaux projets verront le jour en 2021.

Un nouvel opus, le tome 3, de Lilou, ma vie comme sur des roulettes, sortira chez Auzou.

Un roman co-écrit avec Matthieu Radenac, sera publié aux Éditions Gulf Stream

Un roman en deux tomes, co-écrit avec Nancy Guilbert, sera publié aux Éditions Gulf Stream

Un autre roman, co-écrit avec moi-même sortira chez un éditeur cher à mon cœur avec lequel je travaille pour la première fois.

Si j’ai été bien silencieuse durant ces quelques longues semaines de confinement c’est tout simplement parce que je n’étais pas en mesure de vous donner des nouvelles fraîches. Pas de nouvelle sortie de roman, pas de salon, pas de rencontres… Pour nous les auteurs et les autrices, comme pour beaucoup, tout s’est brutalement arrêté arrête le 15 mars.

Pour un auteur, on pourrait penser que le confinement aura été propice à des longues journées d’écriture paisibles… N’est-ce pas d’ailleurs ce à quoi je suis habituée six mois par an ? Mais cela n’a pas été le cas. Hormis un roman à terminer avec Nancy Guilbert, je ne peux me targuer d’aucun nouveau projet, comme si cette ambiance anxiogène avait coupé court à toute réalisation fictionnelle.

De plus, l’incertitude de l’avenir n’a pas aidé à donner l’envie de participer à une surabondance de propositions dont seuls quelques happy fews bénéficieront.

Mais cette pause n’en fut pas moins bénéfique et les projets fourmillent désormais suffisamment pour me pousser à les mener à bien. Encore faut-il qu’ils trouvent grâce auprès ds éditeurs… Et ce n’est jamais gagné.

En attendant, à vous qui passez de temps en temps par mon site, je vous souhaite un très bel été riche en lectures…

Si je puis vous donner quelques conseils en la matière, soyez curieux et ne vous laissez pas aller à la facilité qui consiste à vous précipiter sur les blockbuster littéraires dont on vous rabâche les oreilles. Non, allez chercher la multitude de pépites qui, pour des raisons inexplicables, n’ont pas la faveur de nos médias. C’est peut-être en cela qu’elles méritent toute votre attention.

Non, bien sûr que non ! Certes, nous allons au devant d’une période bien difficile pour tous et toutes, et ce de par le monde entier. Le confinement sera une rude épreuve qu’il va falloir surmonter… Mieux encore : qu’il va falloir exploiter à fond. Un mal pour un bien. Cela s’appelle la résilience.

Alors précipitez-vous sur le livre que vous n’avez jamais eu le temps ou l’envie d’ouvrir, sortez vos aiguilles, vos fils et vos laines, vos crayons et papier à dessin, vos journaux intimes… Et faites de cette période unique dans votre vie une parenthèse enchantée !

J’ai eu la chance de passer une formidable semaine à Casseneuil, à l’invitation des 20 ans de Lire et Faire Lire, initiée par la Ligue 47 et en compagnie des bénévoles dans cette magnifique région du Lot. J’en garderai à jamais un souvenir marquant.