Yaël Hassan

Il va vous falloir patienter encore un peu mais j’en aime tellement la couv’ que je ne peux résister au plaisir de vous la montrer. Il s’agit d’une des histoires les plus émouvantes qu’il m’ai été donné d’écrire.

Un grand merci à Frédérique Elbaz, mon éditrice des Editions du Mercredi, d’avoir permis à ce texte d’exister.

Dans les sorties remarquées de ce début d’année, je vous invite à découvrir ce délicieux roman de Matt7ieu Radenac, mon ami et co-auteur de La fille qui n’aimait pas les fins et Quatre de coeur, tous deux publiés également chez Syros.

Les échanges de mails hauts en couleurs, et en émotions, entre un ado qui ne lit jamais de livres et un auteur de romans reconnu !

Au-delà des traditionnels voeux de bonheur, de santé, de richesse, de paix, de de prospérité, j’aimerais placer cette année porte-bonheur sous le signe de la Littérature, celle que j’essaie d’écrire et celle que je lis. En ce qui me concerne j’ai pour le moment deux belles parutions en perspective dont je vous parlerai bientôt. Ce sont deux projets qui me tiennent terriblement à coeur de par leur caractère différent de ce que j’ai écrit jusqu’à présent. L’un sortira en septembre chez Syros et l’autre très bientôt aux Editions du Mercredi.  Et j’espère de tout coeur que l’un et l’autre vous toucheront autant que moi.

Très belle année à tous !

2016 ne restera pas dans ma mémoire comme le meilleur des crus.

. Mais 2017 s’annonce explosive! D’abord, pour ceux qui l’ignore encore, le 17 est mon chiffre porte-bonheur…

Effectivement, c’est un 17 décembre que m’est arrivé, il y a bientôt 20 ans, le terrible accident qui allait changer ma vie.

Et c’est un 17 octobre, deux ans plus  tard que j’ai reçu le coup de fil m’annonçant que j’étais la lauréate du Prix de Littérature Jeunesse du Ministère de la Jeunesse et des Sports.

C’est un 17 septembre qu’est sorti mon premier roman Un grand-père tombé du ciel chez Casterman

Et tous mes bonheurs me sont arrivés un 17

Alors 2017, à nous deux !