• Une fin et un début de semaine dans le Nord

    Ce fut un réel bonheur de passer cette journée de la Librairie indépendante à Saint-Omer, en compagnie de Sandrine son équipe, les libraires de Mots et Merveilles, un amour de boutique qui vaut vraiment le détour.

    Un grand merci également à Olivier, d’avoir pris le temps de nous faire découvrir la splendide salle du Patrimoine de la Médiathèque, où tout écrivain rêverait d’être enfermé !

    Lundi matin, je mettais le cap sur Villeneuve d’Ascq, à la rencontre de deux classes du collège Simone de Beauvoir.

    La prof de français avait fait l’audacieux pari de faire lire à ses élèves de 5ème, Tant que la Terre pleurera (Casterman), texte difficile sur le conflit israélo-palestinien. Je l’en remercie, ainsi qu’Estelle, la documentaliste, pour la gentillesse de son accueil.

  • Quelques images souvenirs (déjà!) du Salon de Sarlat

    Les salons sont des parenthèses enchantées, des escales en points de suspension qui nous sortent de nos bureaux, ateliers, écrans, cahiers, pour aller à la rencontre de ceux qui font vivre nos livres, nos textes, nos dessins.

    En tant qu’auteur je n’existerais pas sans cette multitude de prescripteurs que sont les organisateurs de salons, les libraires, les bibliothécaires, les blogueurs et les blogueuses, les enseignants, sans oublier les bénévoles qui agissent souvent dans l’ombre et qui contribuent à la réussite de ces évènements. Qu’ils en soient tous chaleureusement remerciés.

    Et puis les salons c’est l’occasion de voir ou de revoir des auteurs, ceux avec qui je papote sur FB par écran interposé et ceux dont je fais la connaissance et qui viennent à chaque fois agrandir le cercle amical.

    Sarlat, enfin, ce fut l’accueil chaleureux de Mady et Jacques, en leur si jolie maison de pierres blondes. Et celui de toute l’équipe entraînée par Sylvie Faupin, la grande organisatrice de cet évènement sarladais.

        

  • Doublé gagnant pour Perdus de vue.

    Aucun texte alternatif disponible. Prix reçu samedi par Rachel à   Villefranche du Rouergue.
    Et par moi, ce dimanche à Romilly sur Andelle.

    Perdus de vue est entré à petits pas feutrés, sans aucun tapage, aussi discrets que ses auteurs !

    Mais voilà qu’il gagne les coeurs les uns après les autres : lecteurs jeunes et moins jeunes, libraires, bibliothécaires… C’est une histoire toute simple une histoire de rencontre improbable, une rencontre inter-générationnelle entre deux personnes que tout oppose… sauf le coeur.