• La vie des auteurs jeunesse n’est pas un long fleuve tranquille…

    La vie des auteurs jeunesse, contrairement à ce  que l’on pourrait penser n’est par un long fleuve tranquille du fait d’un statut précaire et de revenus aléatoires. Et voilà qu’une nouvelle tuile nous tombe sur la tête. Pour vous expliquez de quoi il s’agit je laisse la plume (ou plutôt le clavier) à Cécile Roumiguière qui dit les choses bien mieux que je n’aurais su le faire,

     

    Shéhérazade : les raisons de la colère

  • Billet de très belle humeur

    Je suis sur le départ pour le Festival du Livre de Nice et je m’en réjouis.

    Demain, toute la journée, je rencontrerai des collégiens. Samedi et dimanche, je dédicacerai mes livres au salon.

    L’occasion de revoir notre Susie Morgenstern nationale et quelques copains.

    Le Bonheur, quoi !

  • Billet de très mauvaise humeur

    Pour me préserver des mauvaises surprise d’ordre purement matériel, j’ai pris le soin de créer une rubrique Rencontres Mode d’emploi où j’explique de la manière la plus claire possible ce que sont mes conditions d’interventions dans les collèges. Tout y est dit et détaillé et les établissements scolaires qui désirent m’inviter sont donc parfaitement au courant. Néanmoins, à chaque demande, je  re-précise les choses (Je n’ai pas de n° d’Agessa)  et demande à la doc’ de bien vérifier auprès de son intendance et sa direction qu’ils acceptent de régler ma Note de droits d’auteur établie selon le modèle de La charte des auteurs. Je demande également la signature d’une convention avant ma venue. De ce fait, je pensais être parée contre toute mauvaise surprise…

    Eh bien non ! Alors que j’avais pris toutes ces précautions, que je m’étais levée à l’aube, que j’avais pris 4 moyens de transport dans chaque sens, que j’avais assuré ma prestation auprès d’un public de 3ème qui ne m’était pas acquis au départ et dont le principal qui y avait assisté m’avait félicitée, voilà donc, que ce collège, Maurice Utrillo de Montmagny, refuse purement et simplement de me régler ma facture. Et ce malgré la signature de la convention et de leur accord écrit.

    Je sais que je n’ai aucun recours mais cela me laisse un goût amer. La seule chose que je puisse faire est de mettre en garde mes amis auteurs qui seraient invités par ce collège pour l’année prochaine. Si une invitation émanait du collège Maurice Utrillo de Montmagny…

    Petit ajout à mon post du 31 mai.

    Finalement, grâce à l’aide et l’intervention d’une association, le collège a accepté de payer la facture. Tout est donc bien qui finit bien.

     

     

  • Montreuil et moi

    1355_SLPJ_SALON_AFF_40x60_Mise en page 1Cela sera mon 20ème Montreuil ! Vingt ans déjà que j’y étais invitée pour la première fois l’année de la sortie de mon premier roman : Un Grand-père tombé du ciel, publié chez Casterman. Le salon se tenait à cette époque sous chapiteau. Et pour moi, qui arrivais là “accidentellement, c’était d’une telle émotion ! À ce premier Montreuil, j’ignorais que 20 ans plus tard, j’y reviendrais encore, que j’aurais une cinquantaine de publications derrière moi dont certaines seraient vendues à des dizaines de milliers d’exemplaires. Oui, j’aime Montreuil pour les gens que l’on y croise, pour les amis que l’on y revoit, pour les lecteurs qui vous témoignent de leur sympathie, pour les enfants qui s’y émerveillent, pour les éditeurs qui sont aux petits soins. Pour autant, je pense porter à Montreuil un amour unilatéral… Mais ça, c’est une autre histoire !